Quand on dissèque un tendon, on s’aperçoit de sa consistance et de sa solidité. Un choc traumatique peut entrainer un encrassage de ses réseaux vasculaires et une inflammation d’où douleur et impotence.

En trois ou quatre semaines, le système réparateur (ADN, ARN, enzymes, protéines) est capable de le cicatriser. Si la douleur persiste au-delà de cette période, c’est qu’il n’est pas en mesure de remplir seul cette fonction et qu’il y a probablement une #pressionémotionnelle qui le perturbe. En effet, le système réparateur s’attache au corps physique et ne peut intervenir sur l’émotionnel.

Il est nécessaire d’intervenir de façon classique sur ce tendon en souffrance avec tous les moyens offerts par la kinésithérapie mais aussi de s’attaquer à ce qui a pu entretenir la lésion.

Nous allons trouver à ce niveau la déficience de plusieurs éléments énergétiques : le muscle est associé au Bois (colère), le segment jambier à l’Eau (dévalorisation, impuissance) et le tendon lui-même s’inscrit dans la chaine de l’Estomac (ne sait pas comment faire). Ainsi, un choc a pu agresser le tendon qui était porteur d’informations de ce type, fragilisé, et l’a fait flamber (Feu – surrénales).

La RSP permet d’agir avec plus d’efficacité sur ce type de lésion en identifiant la cause (le robinet qui fuit) pour aider le patient à mieux comprendre son histoire et avec des « outils appropriés » arriver à s’en libérer, ce qui fut mon cas en m’effondrant sur un terrain de rugby sans avoir été touché par un adversaire 48 heures après avoir appris le handicap de ma fille (colère – impuissance – que faire ?).