Comme tout corps vivant, les tissus de notre organisme émettent des vibrations. En RSP, nous formons nos mains pour qu’elles puissent les percevoir. Nous nous appuyons sur la notion d’onde vibratoire qui se déplace le long de nos tissus (et non de micromouvement). C’est le concept retenu par le CNRS, lors d’une étude effectuée dans ses locaux, avec ses trois composantes (longitudinale, verticale, rotatoire). Si la zone écoutée est équilibrée, nous n’allons rien ressentir simplement parce que la composante verticale de l’onde vibre sur une longueur d’onde uniforme.

Par contre, en cas de désordre, nous serons en mesure de la percevoir. Proche du corps (dans les 5-6 cm), elle signe un dysfonctionnement physique et structurel traduisant une intoxication (poison ou allergie), un traumatisme ou un encrassage (homéostasie). Plus éloignée 6-16 cm (environ) elle est en rapport avec une perturbation de type onde (tellurique, électromagnétique, cosmique, cosmo-climatique). Enfin, au-delà de cette distance, elle est la manifestation d’un conflit psycho-émotionnel.

Il s’agit en fait de rayons lumineux invisibles qui traduisent la composante verticale de l’onde comme l’ont démontré plusieurs études sur la perception dermo-optique dont celle du CNRS sous la conduite d’Y. Duplessis. Une main entrainée est tout à fait capable de la percevoir et de la transmettre au cerveau où ces informations seront décodées.

Toutes les cellules de notre organisme sont porteuses des mêmes informations mais nous n’avons à ce jour pas un appareil capable de les décodées. Alors, nous nous mettons en adéquation avec le cerveau qui travaille comme un hologramme : les informations passent d’un hémisphère à un autre, d’une zone à une autre et comme lui, grâce aux passerelles établies entre le corps physique, le corps énergétique et le corps mental, la RSP est capable de nous aider à reconstruire le message perturbateur.

Rappel : lors d’une consultation, les plages neuronales du patient et du thérapeute communiquent ce qui facilite la justesse du message. Cette approche vous est-elle utile pour mieux comprendre les réactions du corps physique ?