L’écoute palpatoire en RSP et la perception dermo-optique
Les tissus de notre organisme ont chacun leur raison d’être. L’extra-embryonnaire s’attache au sang, l’endoblaste au feuillet viscéral des organes digestifs, respiratoires et à la vessie, l’ectoblaste au système nerveux sensitif et moteur et le mésoblaste aux os, muscles, derme et à certains organes comme le cœur, la rate, les reins… Et comme tous corps vivant, ils émettent des vibrations.
Ces vibrations sont en fait – comme l’a démontré Yvonne Duplessis et ses études du CNRS sur la perception dermo-optique – des rayons lumineux invisibles qui peuvent être captés par une main entrainée grâce à ses propriétés de corps noir, un corps capable d’absorber toute l’énergie reçue. La sensibilité dermo-optique est développée au niveau des mains par une prise de conscience que fait le sujet d’impressions non visuelles.
Bien d’autres comme les professeurs russes Novomeysky, Constantinov et Tchetine (1963 et années suivantes) ont mis en avant ces impressions différentielles induites par des stimuli identiques qui seraient dues à des interactions entre le rayonnement infra-rouge émis par la main du sujet et celui émis par la surface écoutée. Des mesures thermiques de ces réactions (Pr Novomeysky) ont prouvé cette hypothèse thermodynamique. Il convient de ne pas la confondre avec des phénomènes de télépathie, clairvoyance ou précognition.
En RSP, cette capacité d’écouter ces vibrations permet d’identifier leur nature : corps physique (entre 0 et 6 cm), corps éthérique (entre 7 et 16 cm) et corps émotionnel et mental (au-delà) et d’y adapter le protocole adéquate.
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