A la base de ces pathologies se trouvent les glandes surrénales qui ont été épuisées et ne peuvent plus répondre aux agressions de toutes sortes. Nous avons déjà vu que le stress en est une des causes et, qu’à force de les solliciter, le processus de déversement d’adrénaline, de noradrénaline, de cortisol, va les rendre incapables de remplir leur fonction de défense et de protection de l’organisme.

Les glandes surrénales, devant une situation menaçante, nous permettent d’agir de deux façons : la fuite ou l’attaque. Elles sont associées à deux éléments énergétiques : l’Eau et le Feu (l’Eau qui éteint le Feu). Dans le cas d’une réaction d’attaque, l’Eau donne de la force au Feu qui lui permet d’avancer : c’est OSER.

Mais dans le cas des pathologies inflammatoires, c’est le contraire qui se présente : l’Eau n’a pas la force de protéger le Feu qui s’embrase. Les mots qui définissent le mieux cette action sont le “renoncement” lorsque l’Eau est en cause, la “résignation” si c’est le Feu. Il y a fort à parier que ce renoncement ou cette résignation sont le fait d’un conflit affectif qu’il convient d’identifier et de traiter pour pouvoir inverser le processus.

La polyarthrite atteint les os et les cartilages et se trouve en rapport avec le manque de force et d’assurance “chronique” d’ordre affectif.

La fibromyalgie survient quand le seau – le corps physique” déborde. Elle touche les muscles associés à la colère affective non exprimée que l’on se refuse de solutionner.

Alors ne traiter que ces pathologies en ne s’adressant qu’au corps physique s’avère dans de nombreux cas insuffisant. Le corps et l’esprit ne font qu’un et comme l’écrivait Platon ^lus de 350 ans avant JC, “il serait pure folie que de vouloir guérir le corps sans vouloir guérir l’esprit”. La RSP permet d’agir sur les deux plans