Pour répondre aux traumatismes des membres inférieurs
Quel est le pourcentage des vrais traumatismes, ceux qui ne sont pas la conséquence d’une fragilisation des tissus qui ne peuvent résister à un choc ? Selon nos observations, ils sont de l’ordre de 30 % et nécessitent une intervention chirurgicale, s’il y a lieu, une rééducation et une réathlétisation. Mais s’ils sont la conséquence d’un désordre autre, il conviendra d’ajouter aux traitements structurels une réponse au pourquoi de ce traumatisme.
Qu’est ce qui a fragilisé et participé à la rupture du ligament croisé antérieur du genou ? Comme ces rugbymen internationaux qui, sans contact, l’ont rompu ? Comme chez ces patients, non sportifs de haut niveau, qui en ont fait de même. Nous avons observé beaucoup de colères et, après les avoir aidés à s’en libérer, évité quelques interventions chirurgicales qui ne se sont plus avérées indispensables au chirurgien.
Pourquoi une entorse de cheville alors que le système proprioceptif est très performant ? Beaucoup de problèmes de territoire ou de changement de direction en sont à l’origine. Là encore, après libération avec la RSP, un grand nombre a été résolu et a éviter la récidive.
Pourquoi tous ces problèmes musculaires ? Bien évidemment il peut y avoir une surcharge d’effort et un encrassage mais, s’ils doivent se répéter, c’est peut-être que les réponses apportées se sont montrées insuffisantes. Elles n’ont pas répondu au pourquoi fait de peur du devenir, de colère ou d’injustice qui, en fonction du muscle atteint, de la chaine musculo organique à laquelle il est rattaché, permet de préciser le désordre émotionnel.
L’approche RSP se veut complémentaire de l’approche structurelle et non pas alternative. Elle s’insère facilement dans une séance de kiné ou d’ostéo et permet de gagner du temps de cicatrisation en activant le système réparateur et celui du psycho-émotionnel et, in fine, de performer le résultat.
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