La composante verticale de la vibration permet d’identifier la nature du dysfonctionnement. Proche du corps (jusqu’à 6 cm environ), elle touche essentiellement le corps physique et ses différents tissus : le sang avec l’extra-embryonnaire, la muqueuse viscérale d’un organe digestif, respiratoire ou la vessie avec l’endoblaste, les systèmes nerveux sensitif (douleur) ou moteur avec l’ectoblaste, les os, articulations, muscles, derme et certains organes avec le mésoblaste.
Une composante plus éloignée (de 7 à 16 cm) signe une agression liée aux ondes qu’elles soient telluriques, électromagnétiques, cosmiques ou cosmo-climatique. Enfin, plus éloignée (au-delà de 17 cm), elle traduit une atteinte de type émotionnel ou mental.
Il convient alors d’adapter le protocole qui leur est associé et de rétablir la liaison interrompue entre le point d’accrochage cellulaire (la chaine atteinte et son tissu) et le point étiologique qui traduit la nature et le type de lésion. Cette action permet de relancer le processus de cicatrisation tissulaire. Exemple : dans une entorse de cheville, plus vite seront apportées les corrections et plus rapide sera la réactivation de ce processus : le saignement avec l’extra embryonnaire, la douleur avec l’ectoblaste, le ligament lésé avec le mésoblaste.
Et si l’écoute nous informe d’un désordre émotionnel ayant fragilisé l’articulation (problème de territoire), il conviendra de décortiquer les émotions en identifiant leurs nature et spécificités : insatisfaction (culpabilité-manque) ou anticipation (croyance-peur)… Ainsi, l’action portée sur le corps physique permettra de vider le seau, celle sur l’émotionnel d’identifier le robinet qui fuit et proposer au patient des pistes pour en réduire le débit ou mieux le fermer. Il s’agit là du processus de cicatrisation psychique qui se met en place avec la prise de conscience, la compréhension et l’acceptation qui reste l’affaire du patient.
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