341 – protocole localisé ou d’urgence en RSP

La RSP propose plusieurs protocoles en fonction de la situation qui se présente. Nous en retiendrons ici deux. Celui dit “localisé ou d’urgence” peut s’insérer dans une séance de kinésithérapie, d’ostéopathie ou de tout autre approche thérapeutique. La nature de la vibration écoutée va déterminer le stade à utiliser :

A – Une vibration proche du corps nécessite le protocole du corps physique qui met en relation le point d’accrochage cellulaire constitué de la COM et de son tissu avec le point étiologique. Ce dernier peut être de nature différente :

Rétablir une liaison entre ces deux point vise à vider le seau.

B – Une vibration plus éloignée signe une perturbation du corps éthérique représenté par les ondes :

Dans la plupart des cas, ce ne sont que des perturbations qui vont inhiber le bon fonctionnement cellulaire, pas une cause de sa déficience.

C – Une vibration de plus d’une quinzaine de centimètres porteuse d’une agression émotionnelle qu’il conviendra de décoder ce que nous verrons dans le prochain paragraphe. Il suivra le même protocole mais se limitera à la zone en souffrance.

342 – le protocole émotionnel en RSP

Lorsque nous nous trouvons en face d’une telle vibration, nous devons prendre en compte qu’il s’agit d’une émotion refoulée qui fait résonance avec un ou plusieurs programmes que nous avons engrammés dans le passé et qui, réactivés par une situation récente du même type, émergent et se manifestent sous diverses formes que ce soit des douleurs, des problèmes organique ou de peau, un état psychique de déprime…

Il convient de se rappeler qu’une émotion est porteuse d’informations et qu’une émotion mixte cherche à nous tromper, à nous berner contrairement à une émotion simple qu’il suffit de ressentir. Il est donc indispensable de la décoder :

Une fois ces informations recueillies il est nécessaire de rétablir la liaison entre le corps physique et l’esprit. Comment ? en reliant le point de chakra, qui renferme toutes ces informations, au cerveau par l’intermédiaire de l’organe sensoriel associé à l’élément énergétique en déficience, seul moyen de transférer une information de l’extérieur vers l’intérieur. C’est alors que, fort de ces informations, le cerveau aura la possibilité d’activer la vidange du seau qui déborde.

Il lui faut maintenant agir sur le robinet qui fuit en prenant conscience de ce qui a provoqué le dysfonctionnement. Ce protocole est suffisant dans des cas simples, deux à trois vibrations de ce types peuvent émerger, mais insuffisant lorsqu’il s’agit de cas plus complexes avec des lots d’émotions refoulées qui se bousculent.

343 – protocole bilan – traitement en RSP

Il reprend le même déroulé que celui vu précédemment mais l’écoute va se faire sur 20 perturbations et le nombre d’informations, 120, représenter un vivier suffisamment important pour en extraire l’essentiel sous forme de synthèses.

Le message perturbateur peut à ce moment être identifié et permettre par des mots de prendre conscience de la nature du dysfonctionnement. Déjà, quelques pistes peuvent lui être proposées pour une meilleure compréhension et une diminution de l’intensité du dysfonctionnement. Très rapidement est déterminé avec le patient le message positif à mettre en oeuvre.

La suggestion

L’un des éléments fondamentaux pour entreprendre une changement de comportement est, outre la bienveillance du praticien, de lui délivrer, par suggestion, un message positif. La plus ancienne des théories sur la suggestion a été formulée par Hippolyte Bernheim, un médecin neurologue français, en 1888 et reprise en 1910 dans son livre Hypnotisme et suggestion (Editions Douin). Elle incite le patient à se focaliser sur la chose suggestionnée pour faciliter sa transformation par des mécanismes inconnus. Pavlov, médecin et physiologiste lauréat du Prix Nobel de Médecine et de Physiologie en 1904, a démontré que la répétition de mots associés à la représentation des objets et des êtres stimule des aires de la pensée qui donnent au signal sonore une valeur symbolique : le mot et la représentation ne font qu’un. Ce qui fait écrire à C.Bykov, un de ses élèves, dans l’Ecorce cérébrale et les organes internes (Edition en langues étrangères – Moscou – 1956) “qu’un mot peut être un stimulant puissant” et dans certains cas plus puissant qu’une substance administrée.

Voilà pourquoi la RSP va proposer au patient un message positif qu’il va pouvoir mentaliser chaque fois qu’un déclencheur sensoriel – un des couleurs des Cinq Eléments – se trouvera dans son camp de vision. La répétition du message – en fait l’intégration du programme positif – se fera de manière inconsciente sans chercher consciemment des solutions. Il va stimuler ses immenses ressources pour que celles-ci lui proposent leurs propres solutions.

Les synthèse éclairent le patient, avec des mots simples, la nature du programme perturbateur. il est alors nécessaire de lui proposer des pistes pour qu’il puisse mieux appréhender son histoire et progressivement s’en libérer.

344 – le protocole cheval en RSP – FD Chauvin

FD.Chauvin – Kinésithérapeute

1 – Prise de contact avec le propriétaire

2 – Prise de contact avec le cheval

3 – Le protocole de traitement

Une fois l’élément énergétique déterminé, écouter dans le chakra la COM responsable du désordre.

Inverser cette image : AB1 en bas, V7 en haut

Apporter une information entre le point COM dans la représentation du chakra et l’organe des sens correspondant à l’élément énergétique

4 – Protocole intoxication

De ce point, on écoute la ligne para vertébrale cervicale :

On se reporte au tableau des intoxications et ou des allergies et on écoute avec l’autre main la case en déficience.

Du même point, on écoute le tissu :

Extra embryonnaire le long du bord latéral des vertèbres, puis l’endo, puis l’ecto et enfin le méso près de la ligne médiane ventrale (centrale) de l’encolure.

L’intérêt de la connaissance du tissu peut corroborer la pathologie dont parle le propriétaire.

5 – Fin de traitement

Quand il n’y a plus d’information, le traitement est terminé. D’ailleurs, le cheval ne s’intéresse plus au thérapeute. Il est fatigué, comme épuisé suite à la mobilisation d’énergie due au traitement.