Le diagnostic en RSP
La RSP ne remplace pas les techniques kinésithérapiques ou ostéopathiques, mais permet de gagner du temps et d’être plus performant pour relancer le système réparateur. Elle facilite très rapidement l’identification du muscle atteint – (exemple des ischios jambiers : préciser s’il s’agit d’un semi-tendineux, d’un semi membraneux récurrent, direct ou réfléchi, d’un long ou d’un court biceps) – son degré de gravité (élongation, claquage, déchirure ou rupture pour une lésion musculaire ou stade I, II ou III pour une entorse…), l’étage vertébral primaire mis en cause et d’apporter une information pour que le système nerveux réactive sur le champ le processus de cicatrisation tissulaire.
Plus vite sera mis en place ce processus – trois semaines sont nécessaires pour la cicatrisation d’un ligament et trois autres pour sa consolidation – plus rapide sera la réhabilitation. La RSP permet de gagner du temps et de performer le traitement.
Si le désordre physique a été favorisé par une agression de type émotionnel, une fois le programme identifié, il est possible d’aider le patient en mettant en place le processus de cicatrisation psychique. En prenant conscience de la relation qui existe entre les deux entités, il active la première étape indispensable à la suivante, la compréhension de son histoire pour en atténuer son intensité jusqu’à la supprimer. L’ultime étape, celle de l’acception, est celle de la guérison qui appartient au patient.
Dans le cas d’une chronicité, il est judicieux d’identifier le programme qui a prédisposé à « l’encrassage » du tissu pour en diminuer « l’impact » et favoriser un ralentissement de son évolution négative. C’est le cas de l’arthrose ou de la déminéralisation qui sont très souvent la conséquence de comportements associés à la peur ou à la dévalorisation durant une bonne partie de l’existence.
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